En raison de leur orientation, les chambres de l’empereur étaient exposées au soleil toute la journée, avec la chaleur qui en résultait. Surtout en été
On savait déjà que la santé de l’empereur n’était pas bonne. Selon le médecin et écrivain Víctor Guerrero Cabanillas dans son étude «Maladies et mort de Charles Quint», publiée dans Revista de Estudios Extremeños, déjà à Jarandilla de la Vera, le 20 novembre 1556, Luís Quijada écrit au secrétaire Juan Vázquez pour l’informer de la santé de l’empereur. D’après ce qu’il a rapporté, il était en bonne santé, sain et gras, même si la goutte lui causait pas mal de maux. Pourtant, malgré tout, rien ne laissait présager une fin aussi rapide.
Et tout ça à cause d’une fenêtre.